Contrairement à ce que voudrait laisser croire l'affiche apposée derrière la vitrine par son propriétaire, M. Desjouis, ce n'est pas à cause d'un arrêté municipal que la Re a été fermée. C'est bien parce que ce promoteur en a décidé seul pour affirmer son pouvoir sur la ville. C'est le résultat d'une lutte d'influence entre deux promoteurs qui veulent capter les aménagements de la zone ouest et du du centre ville.
Cette lutte de pouvoir entre deux promoteurs empoisonne la vie alençonnaise.
Il s'agit bien de lutte de pouvoir tout autant que de gros sous. On peut en effet se demander ce que peuvent rapporter à leur propriétaire deux établissements fermés en centre ville, si ce n'est de dire aux élus : "Voyez , je suis plus fort que vous ! Je peux fermer deux établissements symboles d'Alençon ! Je peux décider de l'aménagement de la ville ! Je peux décider de la vie de ses habitants !
Les citoyens alençonnais ne supportent plus cette tyrannie. Ils veulent décider démocratiquement de l'aménagement de leur ville. Depuis des années, l'ancienne municipalité a laissé la ville s'aménager au gré des propositions des promoteurs privés : aucune volonté municipale, aucune concertation avec les habitants, même pas de sollicitations de ses propres services, alors qu'il fallait les renforcer pour qu'ils orientent et contrôlent au mieux les investissements privés sur toute la ville et la Communauté urbaine.
Voilà où a conduit ce laisser-faire ! Voilà ce qui arrive quand les promoteurs prennent le pouvoir sur les politiques ! Voilà un bel exemple local de ce qui apparaît de plus en plus clair avec la crise mondiale : la démocratie bafouée par une minorité qui dispose seule des moyens financiers.
La nouvelle municipalité s'est engagée dans une démarche participative. Il faut en prendre acte. Les citoyens doivent reprendre le pouvoir qu'ils n'auraient jamais dû perdre en faisant le souhait que la nouvelle municipalité se donne les moyens de contrôler les investisseurs privés.
Cette lutte de pouvoir entre deux promoteurs empoisonne la vie alençonnaise.
Il s'agit bien de lutte de pouvoir tout autant que de gros sous. On peut en effet se demander ce que peuvent rapporter à leur propriétaire deux établissements fermés en centre ville, si ce n'est de dire aux élus : "Voyez , je suis plus fort que vous ! Je peux fermer deux établissements symboles d'Alençon ! Je peux décider de l'aménagement de la ville ! Je peux décider de la vie de ses habitants !
Les citoyens alençonnais ne supportent plus cette tyrannie. Ils veulent décider démocratiquement de l'aménagement de leur ville. Depuis des années, l'ancienne municipalité a laissé la ville s'aménager au gré des propositions des promoteurs privés : aucune volonté municipale, aucune concertation avec les habitants, même pas de sollicitations de ses propres services, alors qu'il fallait les renforcer pour qu'ils orientent et contrôlent au mieux les investissements privés sur toute la ville et la Communauté urbaine.
Voilà où a conduit ce laisser-faire ! Voilà ce qui arrive quand les promoteurs prennent le pouvoir sur les politiques ! Voilà un bel exemple local de ce qui apparaît de plus en plus clair avec la crise mondiale : la démocratie bafouée par une minorité qui dispose seule des moyens financiers.
La nouvelle municipalité s'est engagée dans une démarche participative. Il faut en prendre acte. Les citoyens doivent reprendre le pouvoir qu'ils n'auraient jamais dû perdre en faisant le souhait que la nouvelle municipalité se donne les moyens de contrôler les investisseurs privés.
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