lundi 31 décembre 2007

Statuts

Les statuts de place publique
C'est une association loi 1901 créé en 1989 dont les buts sont les suivants :
Créer un espace d’expression de la citoyenneté et de la démocratie. Organiser des débats et regrouper des initiatives »
Place Publique a fonctionné régulièrement entre 1989 et 1996, elle a notamment organisé des débats sur les thèmes suivants
« Le développement local »,
« La citoyenneté »,
« La réduction du temps de travail »,
« Y a-t-il une autre politique économique possible ? »,
« Démocratie et Presse locale »
A partir de 1996 jusqu’en février 2007, l’association a été mise en sommeil.
Depuis le printemps 2007, Place Publique est intervenue dans le débat pré-électoral du printemps en prenant partie contre les urnes électroniques.
En juin 2007 Place Publique a permis l’organisation d’une réunion publique citoyenne dans le quartier de Courteille où il a été question surtout de l’opération de rénovation urbaine de la rue Guynemer.
Place publique a ré-ouvert le débat pour une véritable maison des associations et a suscité une rencontre avec Madame le Maire d’Alençon le 11 juillet à ce sujet.
Place publique s’est exprimée également au sujet du projet de zone commerciale à l’ouest d’Alençon (projet gelé pour l’instant).
Récemment, le 7 décembre 2007, Place Publique a organisé une conférence à partir de l’expérience de la Communauté urbaine de Cherbourg qui a remunicipalisé la gestion de l’eau potable.

dimanche 30 décembre 2007

Ballade alençonnaise n°21


Perseigne, Rue Michelet

Déménagements forcés...




Cet immeuble comportait jusqu'à maintenant des bureaux et des appartements. Cette mixité avait été voulue par le programme Banlieue 89 qui avait financé sa réhabilitation. Ce ne sera plus le cas.


Un locataire qui habite encore ici a reçu la visite d'une personne début décembre pour lui demander de déménager avant Noël pour qu'on puisse agrandir des bureaux. Les frais de déménagement sont pris en charge, ainsi que la réfection de la peinture, des sols et de la tapisserie du nouvel appartement qu'on lui attribue.
Le problème, c'est que le locataire venait de refaire, à ses frais, les sols et les tapisseries de son appartement actuel, il y a tout juste deux mois. Il a demandé à pouvoir "refaire" le nouvel appartement de la même façon. Cela lui a été accordé, mais en lui proposant des matériaux bas de gamme, de bien moindre qualité que ce qu'il avait fait dans son ancien appartement. Le propriétaire ne voulait pas en démordre…
Des histoires comme celle-là il y en aurait plein à raconter. Beaucoup de locataires "déménagés" connaissent le même traitement.
Les intérieurs des appartements sont le plus souvent très soignés. Certains locataires en ont fait de véritables bijoux, contrairement à ce que laisse croire le mauvais entretien des façades et des autres parties communes visibles de l'extérieur qui incombe aux organismes propriétaires.
En cas de déménagement, le gestionnaire applique le droit strict en se référant à l'état des lieux d'origine, avec, éventuellement, retenue de la caution versée à la signature du bail... mais jamais d'indemnités pour l'amélioration de l'appartement.

samedi 29 décembre 2007

Ballades alençonnaises n°20

Le panneau d'affichage libre du quartier de Perseigne

En forme de kiosque, il est à l'angle de la place Descartes et de la rue Guillaume Le Conquérant.

De même qu'à Courteilles, on ne trouve pratiquement jamais d'informations venant des habitants.
Cette photo a été prise le 29 décembre 2007. Sur l'autre face du kiosque qui est visible depuis les voitures de passage, il y avait deux affiches d'un parti politique avec des revendications nationales.

mercredi 26 décembre 2007

Ballades alençonnaises n°19



Perseigne, Rue Lamartine
Vous avez dit respect ?...



Cette rue a été réhabilitée en 1983. Chaque locataire pouvait choisir l'aménagement qu'il souhaitait à l'extérieur : véranda, balcon couvert, ouvert ou fermé, agrandissement de cuisine, cellier ou loggia... Il pouvait aussi ne demander que des aménagements intérieurs.
Beaucoup de locataires ont choisi des vérandas pour capter un peu plus le soleil et y installer leurs jardins d'hiver.
C'est une des très rares réhabilitations où ce sont les souhaits précis des locataires qui ont déterminé la nouvelle forme de l'immeuble et non le seul crayon de l'architecte. Pour cette raison, les photos de cette rue sont connues dans les écoles d'architecture du monde entier, tout comme l'immeuble de l'avenue Kennedy.
Cette notoriété internationale n'a pas impressionné les propriétaires, ni les élus d'Alençon, ni les responsables de l'ANRU. Aucune peinture n'a été refaite en 25 ans, l'entretien extérieur n'a pas été assuré et, lors du dernier conseil de district en décembre 2007, les élus de la majorité ont décidé de démolir ces immeubles. (Voir Ouest France du 22 décembre 2007).



Rue Lamartine, n°10 et 12

Cet immeuble aussi a été condamné à la démolition par les élus d'Alençon.
Au premier plan, on voit un appentis qui abrite une salle de réunion pour les habitants (local collectif résidentiel).

samedi 22 décembre 2007

Ballade alençonnaise 18 : la Place du Commandant Desmeulles

Si les voitures n'étaient pas là…


Si les voitures n'étaient pas là…on pourrait voir venir et reconnaître de loin les piétons venant de la rue de Lancrel, juste en face, prendre le temps de les attendre en faisant du lèche-vitrines ou en contemplant la fontaine enfermée dans le rond-point voisin et continuer de profiter de cette Place avec eux pour parler de tout et de rien, comme on le fait toujours entre voisins…

lundi 17 décembre 2007

Quelques liens

Petites infos :

Les lettres de Peuple et Culture sont téléchargeables ici. La dernière relate l'université d'été 2004 : le peuple impopulaire ?

Des nouvelles des éco-quartiers sur actu-environnement, en particulier sur le quartier durable de Limeil-Brévannes

Ballade alençonnaise 17 : avenue de Quakenbrück

Après la Résidence du parc des Sports, tout le long de l'avenue, sur la gauche, de nombreux petits chemins comme celui-ci conduisent aux immeubles de la rue Guynemer.



Ici, pas de grilles ou de panneaux interdits pour repousser les visiteurs mais un labyrinthe de sentiers d'usages pour les habitants qui permettent aussi au promeneur de s'éloigner de la circulation bruyante de l'avenue. Dans les années 80 une convention entre la Mairie et les HLM avait permis aux Espaces Verts de la ville de conforter ces petits chemins en les goudronnant ou en les gravillonnant. Depuis, il semble que l'entretien n'ait pas été régulièrement assuré.

Sur le côté : des fils à linge, encore utilisés à la belle saison…

Ballade alençonnaise 16 : rue Jules Védrines


Cet immeuble était exactement du même modèle que ceux de la SEMPA II que l'on peut voir à côté. Dans les années 80, la SAHLM a décidé de le réhabiliter. De quatre étages, l'immeuble est passé à trois étages en créant ici ou là des terrasses ou des greniers. Côté rue, des escaliers extérieurs ont permis d'accéder à des entrées individualisées. Côté jardin : d'autres escaliers ont donné accès à des jardinets pris sur l'ancienne pelouse. Depuis 25 ans cet immeuble est toujours complètement occupé.

Ballade alençonnaise 15 : avenue de Quakenbrûck

La résidence du Parc des Sports date des années 60.


Propriété privée comme l'indique le panneau à l'entrée de ses parkings.

Privée, mais pas fermée ! Le mini parc qui est au cœur des immeubles est visible de l'avenue. On peut aller contempler de près ses beaux arbres et ses parterres. Signe supplémentaire de son amabilité : les boîtes aux lettres sont à l'extérieur, ce qui est devenu exceptionnel pour un immeuble collectif à Alençon !

Ballade alençonnaise 14 : avenue de Quakenbrûck

La grille impressionnante du Georges V n'est pas incontournable !



Ce petit passage sauvage qui la contourne nous rend tout de suite ses habitants sympathiques !

Ballade alençonnaise 13 : avenue de Quakenbrûck

A quelques centaines de mètres de là, on trouve une autre nouvelle résidence fermée, plus modeste, mais avec un promoteur du nom prestigieux de "Georges V". Derrière une grille impressionnante avec digicode, les maisons-appartements ont été tassées au maximum, sans aucun espace commun, avec des mini clôtures qui leur donnent l'illusion d'être propriétaires. Propriétaires, mais avec un règlement de copropriété très rigoureux. Cet été, une petite affiche rappelait à chacun que les barbecues ne devaient pas gêner les voisins et qu'il était regrettable qu'ils ne soient pas interdits comme c'est le cas en Hollande.

Ballades alençonnaises 12 : est-ce ainsi que tous les hommes vivent ?

En parcourant l'avenue de Quakenbrück (Route de Paris), depuis le pont de chemin de fer jusqu'au terrain d'aviation, on peut comprendre la façon dont les constructeurs, et les pouvoirs municipaux successifs envisagent le "vivre -ensemble".




Cette découverte se fait dans le désordre car les constructions se sont faites au gré des opportunités du marché foncier mais elle ont souvent été impulsées et, dans tous les cas, permises par les permis de construire délivrés par la mairie.

L'espace bâti a ceci de terrible, c'est qu'il garde à jamais la mémoire de ceux qui l'ont conçu. Il ne triche pas, il ne se cache pas derrière des mots, de belles déclarations il montre, tout simplement.

Sur la gauche, on découvre d'abord une nouvelle résidence de style "néo-côte normande", derrière ses grilles. Nouveau Neuilly alençonnais ?

suite à la prochaine photo.

Ballade alençonnaise 11 : à l'ombre du Coubertin

Cette photo a été prise depuis la rue Bienvenu qui dessert la cité jardin des HBM construite en 1936.



Si le soleil des matins d'hiver ne pénètre plus dans les jardins et dans les cuisines de ses petites maisons, il n'en est pas de même des regards possibles de dizaines d'occupants du Coubertin…

jeudi 13 décembre 2007

Ballades alençonnaises 10 : à l'ombre du Coubertin

Les petites maisons de la rue Bienvenu sont les premiers logements sociaux d'Alençon. Ce sont des HBM, Habitations Bon Marché, construits en 1936 comme le rappelle ce panneau.



Pendant des années ils ont eu comme voisins, d'un côté, les chevaux et les lapins qui gambadaient dans le pré de la ferme Thibault (devenue la Résidence des Ecuyers) et, de l'autre côté, "des terrains avec, des fois, des bâtiments, des ateliers, des hangars mais jamais aussi hauts ni aussi près que celui-là !" - m'a dit une habitante - "Avant, en hiver, j'avais le soleil du matin jusqu'au fond de ma cuisine. Maintenant il n'arrive qu'à 10h00 au bord de ma fenêtre…et puis, voilà ce qu'on voit ! … Il n'y a pas de bruit, faut pas se plaindre, c'est tranquille, mais on aimerait bien profiter du soleil !"


Pas de bruit… mais le regard possible de dizaines d'occupants du Coubertin sur leurs petits jardins !

Ballades alençonnaises 9 : chemin des bœufs et des pêcheurs



Ce petit chemin de pêcheurs que l'on peut voir du pont de Courteilles pourrait nous conduire jusqu'au cœur d'Alençon…





Le problème, c'est qu'il se transforme vite en parcours du combattant avec des clôtures, des fossés, des petits cours d'eau, des broussailles, sans compter les trous de ragondins ! Il suffirait de peu de choses pour le rendre accessible à tous en négociant le passage avec les agriculteurs riverains en échange d'une clôture à vaches et de l'entretien annuel des bords de rivière.




Tous les Alençonnais pourraient ainsi profiter des charmes des bords de Sarthe, comme ceux que l'on découvre depuis le même pont de Courteilles.



Voici coment le problème a été résolu à Saint Léonard des bois, près du Gasseau, pour remonter la Sarthe vers Saint Céneri.


Ballades alençonnaises 8 : Le Coubertin

Le Coubertin est situé sur la gauche de l'avenue de Quakenbruck (que les Alençonnais appellent toujours "route de Paris"), au niveau des premiers feux, après le pont de chemin de fer.


Il a été construit en zone franche pour accueillir des bureaux et des cabinets de professions libérales, destinés à revitaliser le quartier de Courteilles. Les entreprises nouvellement implantées en zone franche bénéficient de remises d'impôts et de charges sociales, par exemple :


  • pas d'impôts sur les bénéfices pendant 5 ans jusqu'à 61 000 € par contibuable et par an
  • pas de taxes professionnelles pendant 5 ans
  • pas de taxes foncières sur la propriété bâtie pendant 5 ans
  • pas de contributions sociales patronales pendant 5 ans,
  • pas de taxe reversement Transport,
  • pas de contribution au fonds national d'aide au logement
  • pas de cotisations personnelles Maladie-Maternité pour tout chef d'entreprise pendant 5 ans jusqu'à 20 777€, puis cotisations dégressives pendant 9 ans.


En échange des exonérations de charges sociales, les entreprises ont l'obligation suivante : "après deux embauches donnant droit aux exonérations, le nombre de salariés embauchés (...) résidant dans l'une des zones urbaines sensibles de l'unité urbaine, est égal au moins au 1/3 des salariés embauchés dans les mêmes conditions".


Toutes les pertes de recettes liées aux exonérations sont remboursées par l'Etat à l'URSSAF et aux collectivités locales. Ca ne coûte donc rien à la ville, mais c'est bien l'ensemble des contribuables qui finit par payer

Pour la plupart, ces cabinets et sociétés se sont "délocalisés" du centre-ville vers Courteilles.


Combien ont-ils créé d'emplois nouveaux ?

Combien vont-ils en créer ? On ne sait pas.

De toutes manières cet endroit restera animé car les bureaux de pointage de l'ANPE sont ici. On les aperçoit à l'arrière-plan de cette photo.

mercredi 12 décembre 2007

Ballades alençonnaises 7 : trois cent mètres

C’est la distance entre le sentier qui prolonge la rue Lallemand d'une part et la rue du Moulin de Lancrel ou le Boulevard Colbert d'autre part.


C’est trois cent mètres le long de la Briante ou à travers des prairies, trois cent mètres d’un possible sentier qui réuniraient deux quartiers et offrirait aux piétons une promenade sécurisée dans un cadre agréable : rivière, vieux murs, arbres majestueux, prairies. C’est le trajet le plus court et le plus sûr entre le centre ville, l’école Jules Ferry, le collège Balzac et le Lycée Alain. Les jeunes ne s’y trompent pas : le muret à l‘entrée de ce chemin est déjà un lieu de réunion : juste assez haut pour s’y percher, suffisamment tranquille pour discuter quelques dizaines de minutes.

C’est un projet qui figurait dans le plan de référence de la ville d’Alençon, en mars 1982, lorsqu’un groupe de travail composé de sociologues et d’urbanistes avait réfléchi aux orientations d’aménagement du quartier en consultant ses habitants.

lundi 10 décembre 2007

Ballade alençonnaise 6 - Chemin de traverse...

Photo prise derrière le gymnase Chabrol et l'école Jules Vernes, à Perseigne.


Cette piste est le chemin le plus court pour aller du centre de Perseigne au magasin ALDI de la rue des Tisons. C'est aussi le chemin le plus court pour aller au LEP Mezen, par le chemin des Trois Cheminées et celui de la Fuie de Vignes, à pied ou à vélo. Depuis la Fuie, on peut encore rejoindre le Centre Ville et Saint François. Dans le sens inverse, c'est le tracé le plus direct pour les jeunes de Courteilles qui vont au Lycée Marguerite de Navarre à vélo.
Il est toujours émouvant de découvrir ces traces de passants et de cyclistes qui marquent pacifiquement leur territoire. Des "pistes" comme celle-ci il y en a plein dans la ville : des pistes de gens pressés qui deviennent, un jour, pistes de randonnées où tout le monde peut aller flâner et se rencontrer.

dimanche 9 décembre 2007

Ballades alençonnaises 5 : oeuvres d'art en péril



Cette fresque a été peinte à Perseigne sur un pignon de l'ancien collège ouvert Louise Michel à l'entrée de la rue du même nom. Depuis plus de 15 ans, les mêmes artistes, tous du quartier, ont réalisé une vingtaine de fresques de grande qualité, entre l'avenue Rhin et Danube et le magasin Leclerc, parfois dans des endroits cachés, parfois à la demande des commerçants, des organismes logeurs ou de grands magasins.
Les nouveaux aménageurs du quartier se soucient peu de conserver ces parcelles de mémoire de Perseigne construites au fil des années. Pour preuve : à l'arrière plan de cette photo, à l'emplacement du chantier en cours, il existait deux fresques importantes peintes par les élèves du collège avec leurs professeurs d'art plastique sur les murs du magasin Maxicoop devenu Le Mutant. L'une d'elle, faite à l'occasion du bicentenaire de la Révolution française, avait été inaugurée par le Préfet...

Si vous voulez en savoir plus sur ce sujet passionnant, lisez l'histoire des graphs de Perseigne racontée par la de Semaine de Perseigne de 1987 à 1996...

Dites-moi ce que vous en pensez !

Roger

mercredi 5 décembre 2007

Ballades alençonnaises 4 : une flaque

Le 4 décembre 2007, devant l'entrée de la tour Pascal et de la bibliothèque.
Cette flaque d'eau est là depuis des années ! Ce trottoir fait partie des nombreux "no man's land" que l'on trouve souvent en pieds d'immeubles. Appartient-il à la SAGIM ou à la ville ? Qui doit l'entretenir ? les gardiens d'immeubles ? les services de la voirie municipale ? un service délégué ? lequel ?


Comme la balayeuse ne peut pas passer par là, les papiers amenés par le vent attendent parfois longtemps un coup de balai. En attendant, les gens mal intentionnés ne manquent pas une occasion d'accuser les habitants de laisser-aller !

Ballades alençonnaises 3 : jardin à partager

Ce jardin va bientôt disparaître. Il était cultivé par un locataire de la rue Georges Sand vidée de ses habitants depuis peu et qui va sans doute être démolie...


Ce jardin avait été créé il y a 25 ans, avec une dizaine d'autres, juste derrière le collège ouvert Louise Michel. Les parcelles délimitées par la ville étaient mises à disposition des locataires voisins. Il en existe encore quelques-uns un peu plus loin rue Michelet avec de magnifiques rosiers. Allez-vite les voir avant qu'ils ne soit trop tard !

Ballade alençonnaise 2 : partager des couchers de soleil

Cette photo a été prise le mercredi 4 décembre 2007, jour de "mauvais temps", sur les bords de la Sarthe.

Alençon, comme tout l'ouest de la France possède une richesse unique : la beauté de ses ciels nuageux que les météorologues et les marins appellent les "ciels de traîne". Pourtant, on n'en dit rien aux touristes et on n'a jamais fait d'aménagements publics pour que les Alençonnais en profitent toute l'année : ni terrasses, ni verrières panoramiques, ni points de vues pour admirer nos levers et couchers de soleil exceptionnels... et gratuits !

Environnement et participation citoyenne : les ateliers éco-citoyens de Bordeaux


En septembre 2007, la ville de Bordeaux a lancé des ateliers éco-citoyens qui s'appuient sur les besoins des citoyens, exprimés à travers les conseils de quartiers et en présence du maire. Chaque réunion fait l'objet d'un compte rendu écrit disponible ici

La communauté urbaine de Lyon a développé une démarche semblable consultable ici

Et Alençon ?

lundi 3 décembre 2007

Ballades alençonnaises 1 : le panneau d'affichage libre de Courteille

Voici le seul panneau d'affichage libre de Courteille ! Il est dans un coin de la place du Point du Jour, souvent caché par les voitures en stationnement.



Comme vous pouvez le constater il ne peut recevoir que deux affiches moyennes. On y trouve rarement des informations des associations alençonnaises et jamais aucune expression libre de simples citoyens...

dimanche 2 décembre 2007