Pas grand-chose du moins pour les associations dépourvues de local ou mal logées. S’il est raisonnable de laisser du temps pour élaborer un vrai projet de Maison des Associations, force est de constater que rien n’est encore fait pour trouver des solutions provisoires pour améliorer la vie associative. Un certain nombre d’associations s’étaient réunies du temps de l’ancienne municipalité pour rédiger une demande collective de locaux. Une délégation avait été reçue par M.Viel alors chargé du dossier mais la réponse avait été différée et le choix de traiter au cas par cas avait été privilégié
…et les élections ont eu lieu. Il était légitime de penser qu’avec la nouvelle équipe, on pouvait se montrer plus ambitieux : les associations se sont donc de nouveau rencontrées pour non seulement proposer des pistes de travail pour l’élaboration d’un projet de Maison des Associations digne d’un chef-lieu de département mais aussi pour mener une réflexion plus large sur la vie associative tout entière et les conditions de son épanouissement. Une synthèse de ces travaux avait été effectuée et transmise à la Mairie en septembre.
Pour laisser le temps à la nouvelle municipalité de s’installer et de mener sa propre réflexion, les associations avaient prévu un délai raisonnable avant de solliciter des réponses. Des pistes étaient ouvertes qui ne réclamaient pas un investissement excessif : peut-être pouvait-on envisager un groupe de travail élargi avec des représentants des Associations concernées, des propositions d’attribution de locaux provisoires, des accès aux salles municipales facilités, un pôle municipal de mise à disposition de matériel de reprographie….
Mars 2009, aucune nouvelle. Certaines associations continuent de « galérer » pour organiser leurs réunions, stocker leurs archives, diffuser leurs informations, recevoir leurs adhérents. Elles continuent à faire appel à la générosité des participants pour les aider à régler la facture des locations de salles. Seule avancée et très récente, c’est l’accès aux affichages de la Ville pour des associations qui en avaient été exclues jusqu’alors.
C’est un bon point mais le compte n’y est pas et la patience manifestée jusqu’à maintenant s’use. Parmi ces associations un certain nombre a pour objectif de redonner aux citoyens les moyens de comprendre et de s’approprier le monde dans lequel ils vivent par des démarches d’éducation populaire. Plus que jamais il y a urgence à leur permettre de remplir efficacement leur rôle dans cette période particulièrement troublée par la crise.
Récemment Place Publique et ATTAC avaient demandé une entrevue à madame Forveille, maire-adjointe chargée de la vie associative, pour évoquer ces problèmes. L'accueil a été particulièrement méprisant et les propos tenus ont entraîné la rédaction d’une lettre de mise au point à l’intéressée et à Monsieur le Maire. A ce jour, aucune réponse ou manifestation de leur part.
Les associations d’éducation populaire attendent de la part de la nouvelle municipalité, une considération meilleure que celle accordée par leurs prédécesseurs.
…et les élections ont eu lieu. Il était légitime de penser qu’avec la nouvelle équipe, on pouvait se montrer plus ambitieux : les associations se sont donc de nouveau rencontrées pour non seulement proposer des pistes de travail pour l’élaboration d’un projet de Maison des Associations digne d’un chef-lieu de département mais aussi pour mener une réflexion plus large sur la vie associative tout entière et les conditions de son épanouissement. Une synthèse de ces travaux avait été effectuée et transmise à la Mairie en septembre.
Pour laisser le temps à la nouvelle municipalité de s’installer et de mener sa propre réflexion, les associations avaient prévu un délai raisonnable avant de solliciter des réponses. Des pistes étaient ouvertes qui ne réclamaient pas un investissement excessif : peut-être pouvait-on envisager un groupe de travail élargi avec des représentants des Associations concernées, des propositions d’attribution de locaux provisoires, des accès aux salles municipales facilités, un pôle municipal de mise à disposition de matériel de reprographie….
Mars 2009, aucune nouvelle. Certaines associations continuent de « galérer » pour organiser leurs réunions, stocker leurs archives, diffuser leurs informations, recevoir leurs adhérents. Elles continuent à faire appel à la générosité des participants pour les aider à régler la facture des locations de salles. Seule avancée et très récente, c’est l’accès aux affichages de la Ville pour des associations qui en avaient été exclues jusqu’alors.
C’est un bon point mais le compte n’y est pas et la patience manifestée jusqu’à maintenant s’use. Parmi ces associations un certain nombre a pour objectif de redonner aux citoyens les moyens de comprendre et de s’approprier le monde dans lequel ils vivent par des démarches d’éducation populaire. Plus que jamais il y a urgence à leur permettre de remplir efficacement leur rôle dans cette période particulièrement troublée par la crise.
Récemment Place Publique et ATTAC avaient demandé une entrevue à madame Forveille, maire-adjointe chargée de la vie associative, pour évoquer ces problèmes. L'accueil a été particulièrement méprisant et les propos tenus ont entraîné la rédaction d’une lettre de mise au point à l’intéressée et à Monsieur le Maire. A ce jour, aucune réponse ou manifestation de leur part.
Les associations d’éducation populaire attendent de la part de la nouvelle municipalité, une considération meilleure que celle accordée par leurs prédécesseurs.
Alençon le 10 Avril 2009
Place Publique Alençon
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